500 emplois menacés chez Pimkie

La marque emploie 1 500 personnes et compte 232 magasins et 81 affiliés. Denis Charlet/AFP

Les conditions de vente de la marque de prêt-à-porter féminin, propriété de la famille Mulliez, doivent au préalable être confirmées par la chambre de commerce de Lille.

L’écusson maléfique permanent est maintenant prêt à être porté. Après Kookaï, mis en redressement judiciaire mercredi, Pimkie pourrait supprimer 500 emplois, dans le cadre de son rachat par un consortium qui comprend Lee Cooper France, Kindy et Ibisler Tekstil. La marque compte 232 magasins et 81 filiales, employant 1 500 personnes.

Selon Marie-Annick Merceur, représentante de l’association CFDT, les consommateurs “sera à l’intérieur des murs les 16 et 17 février” et “En avril, on devrait nous parler du plan public avec une centaine de magasins à fermer”. Une audience de conciliation est prévue le 8 février devant la chambre de commerce de Lille-Métropole, à “en termes de transmission”. Dans le cadre du dispositif de sécurisation de l’emploi“Un expert du CSE évalue le nombre d’emplois supprimés de 450 à 500”, dit Marie-Annick Merceur.

Aucune politique n’a été annoncée

Pendant plusieurs années, Pimkie a été vendu par l’Association de la famille Mulliez (AFM), qui était entrée en négociations exclusives en fin d’année dernière avec Lee Cooper France, Kindy et Ibisler Tekstil. Toujours de source syndicale, “L’AFM va payer les dettes et accompagner le redressement financier, en mettant 250 millions par paliers”. Pourtant, l’avenir de la marque est inquiété. “Nous ne nous attendions pas à autant de suppressions d’emplois et de suppressions d’emplois, poursuit Marie-Annick Merceur. Cela nous inquiète d’autant plus qu’aucun plan n’est annoncé, ce qui permet à Pimkie de redevenir rentable et populaire. »

Chez Gap, des salariés sélectionnés ont exercé leur droit d’alerte ces derniers jours, afin d’obtenir des informations sur la situation de l’entreprise, rachetée en 2021 par le groupe HPB (Hermione, People & Brands), qui a annoncé que il l’a vendu. fin décembre à Go Sport. La maison mère du transporteur d’articles de sport a été placée en redressement judiciaire il y a deux semaines. Fais attention “un déficit de stocks de 158 millions d’euros”sa filiale française a récemment subi le même sort.

VOIR LA PIERRE – Le logo Kookaï annonce son placement dans l’espace d’accueil

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