Les problèmes d’électricité se multiplient. Hôpitaux, collèges, lycées, centres professionnels municipaux, piscines, salles de sport, centres culturels, gares, mais aussi supermarchés et zones industrielles… seront, sous l’influence des agences de l’énergie, des collectivités locales et des entreprises.
Toujours associés à des centrales photovoltaïques installées sur les toits des immeubles, ils permettent de produire de l’électricité locale, d’isoler et de revendre le surplus qui est mis sur le réseau, afin par exemple, d’habiter à proximité des bâtiments communaux. .ou une municipalité.
Le nombre limité de places de stationnement concernées
Le projet de loi pour accélérer la production d’énergies renouvelables vise à rendre obligatoire l’installation de tels équipements dans les parkings, ce qui est la limite minimale à mentionner : le gouvernement a proposé 2 500 m2, les sénateurs choisissent des zones qui font 80 et 1 500 m2 sous. 80 parcelles, viabilisées, représentant 2 000 m2. Les parkings extérieurs déjà construits – sans dérogation, comme à proximité d’un site patrimonial – auront entre trois et cinq ans pour fonctionner à pleine vitesse. Même là, les parlementaires devront s’entendre sur leurs positions.
« Dans tous les cas, ces ombrières doivent générer une puissance comprise entre 100 et 200 kW, à la fois pour permettre l’autoconsommation de l’électricité qui contribue significativement à la réduction des dépenses énergétiques mais aussi pour obtenir le prix de la concurrence pour l’électronique, par rapport au marché, à la revente. », ajoute Didier Arz, directeur de l’association Morbihan Energies, un bâtiment très actif, ces dernières années, dans des projets d’aide sociale.
Le feeling et la facilité de connexion
François Jeffredo, chef du service énergie du Sdef du Finistère, précise : “Avec un projet restreint, et compte tenu de l’augmentation du prix de l’acier, la norme est désormais supérieure à 200 kW.” Ce syndicat exploite 46 centrales (bâtiments, ombrières et centrales au sol) d’une capacité totale de 5 MW. Une trentaine de projets verront le jour en 2023, dont une dizaine de bâtiments de l’ombre. Il insiste sur la nécessité de respecter deux critères importants : “l’orientation des voitures, au sud, et la facilité de raccordement au réseau électrique”.
