
Les employés de TotalEnergies ne sont pas “prêts” à fermer l’usine de sitôt
Le travail de TotalEnergies n’est pas “prêt” pour fermer une des raffineries dans l’immédiat, apprend-on aujourd’hui de la CGT, qui appelle finalement à une grève de 48 heures mardi et mercredi. , contre 72 heures pour démarrer prévu.
Il était initialement prévu d’arrêter la production dans les raffineries dans le cadre de la grève contre le projet de réforme des retraites : “ce qu’on va leur donner pendant 48 heures, c’est ‘rien n’entre, rien n’entre-sort’, comme avant”. Pour “savoir si les travailleurs sont prêts” à arrêter, il faut d’abord “tester le renouvellement (l’appel)”, a déclaré Thierry Defresne, secrétaire CGT du comité TotalEnergies Europe.
L’université appelle à la prévention
De nombreuses organisations de jeunesse et syndicats étudiants « appellent à tout faire pour rassembler les jeunes. Notamment en votant en assemblées générales pour bloquer nos lieux d’études, lycées, universités, le 7 février » peut-on lire dans le communiqué commun. .
« Désormais, nous vous invitons à participer au crime et aux manifestations des 7 et 11 février », ont-ils poursuivi.
Un député appelle à “donner l’exemple” en supprimant les pouvoirs spéciaux des députés
“Nous avons l’article 1 dans le texte qui nous est soumis, qui éteint cinq autorités spéciales”, comme EDF, la RATP ou la Banque de France. “C’est une contradiction : pourquoi ces cinq aliments sont-ils si spéciaux ? [mais pas] D’autres, dont des parlementaires ?”, a demandé le député Charles de Courson (Liot) sur BFMTV.
“Il faut montrer l’exemple : on ne peut pas demander à nos concitoyens de faire des efforts sans les mettre nous-mêmes au travail”, assure le député de la Marne.
Selon lui, “le gouvernement représentatif a été réformé deux fois pour le rapprocher” du gouvernement général et il n’en est “pas loin”, mais celui du législatif est encore “loin” du gouvernement général. “On ne peut pas continuer comme ça, sinon on fait des parlementaires contre des parlementaires.”
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Les hôtesses de l’air unissent leurs forces le 7 février
Le groupement de contrôle aérien USAC-CGT a postulé mardi 7 février, au même titre que la SNCF et la RATP.
Lors du dernier jour d’exploitation dans le secteur aérien (19 et 31 janvier), la compagnie aérienne a demandé à la compagnie de réduire de 20% le nombre de vols vers Orly.
Travailler comme superviseur jusqu’à 64 ans? “Non”, ce n’est pas possible, selon Thierry Marx
Est-il possible de travailler comme aide-soignant jusqu’à 64 ans ? “Non, je ne pense pas”, a déclaré le chef Thierry Marx, président de l’Umih, à franceinfo. Certaines personnes “vont laisser un peu plus de temps que d’autres” à cause des difficultés, dit-il.
“Nous nous battrons” pour que l’hôtellerie et la restauration participent aux métiers durs, assure Thierry Marx, appelant à l’attention sur les maladies musculo-squelettiques comme exemple de difficulté.
Olivier Besancenot appelle à une “manifestation nationale”
Olivier Besancenot appelle à une manifestation nationale, c’est-à-dire à un rassemblement de manifestants en un seul lieu, sur toute la France.
“Ce n’est pas le même air s’il y a 2 millions dans les rues en France ou 2 millions à Paris”, a-t-il raison.
Bruno Le Maire : “Le principe de solidarité entre les générations est bon et non négociable
Au lieu de poursuivre ce changement, pourquoi ne pas penser à un nouveau système ? “Nous pouvons, mais cela ne veut pas dire renoncer à qui nous sommes”, a-t-il répondu LCI Bruno Le Maire.
“Il y a un principe de solidarité entre les générations. C’est bien que ce ne soit pas une discussion. Il y a un risque à penser seul”, a déclaré le ministre de l’Economie.
Olivier Besancenot : “L’intention est que le gouvernement s’empare de son travail et le jette à la poubelle”
“Le but c’est de gagner, le but c’est que le gouvernement reprenne son boulot et le jette à la poubelle”, assure Olivier Besancenot à propos de la réforme des retraites du gouvernement.
“On peut gagner, on va gagner, on va gagner”, a déclaré un porte-parole du Nouveau parti anticapitaliste sur BFMTV-RMC.
Bruno Le Maire : “On ne peut pas maintenir le système libéral sans leur argent”
Invité par LCI, Bruno Le Maire défend le maintien du système de répartition, expliquant qu'”on ne peut pas le garder s’il est rare”.
“Dire qu’on peut maintenir un système généreux sans leur argent serait tromper les Français”, a déclaré le ministre de l’Economie.
Bruno Le Maire rappelle qu’il s’agit d’atteindre l’équilibre financier en 2030.
“Nous ne pourrons pas convaincre ceux qui pensent que nous allons augmenter les impôts ou ceux qui disent que la dette n’est pas mauvaise”.
François Hommeril (CFE-CGC) : Opinions tournées contre le gouvernement en matière d’éducation.
“A chaque fois que le gouvernement dit qu’il va faire un cours, ça retourne un peu l’opinion publique contre lui”, a déclaré François Hommeril, président de la CFE-CGC ce matin au micro d’Europe 1 lorsqu’on lui a posé sa question à ce sujet. le sujet des retraites.
Il dit également que le gouvernement est en très mauvaise position pour parler de fausses nouvelles.
Olivier Besancenot appelle la gauche à une “large solidarité” contre la réforme des retraites
Olivier Besancenot a appelé à “une large unité, y compris à gauche sociale et politique”.
Selon lui, “il y a une opportunité historique pour la gauche de revenir”.
Il a dit : « Nous aurons le droit d’attendre l’unité entre la gauche et les partis politiques.
Elle appelle à “une conférence de toute la gauche”, de “Nathalie Arthaud (Force ouvrière) et Olivier Faure (Parti socialiste)”.
Résumé du 31 janvier : Olivier Besancenot a félicité l’un des « salons les plus importants depuis 30 ans »
L’animateur de BFMTV-RMC, Olivier Besancenot salue “une émission qui est l’une des plus importantes depuis 30 ans”, après le rassemblement de mardi contre la réforme des retraites.
De fait, “le taux de grèves est légèrement inférieur dans certaines zones”, reconnaît le porte-parole du Nouveau parti anticapitaliste (NPA). Mais il y a un “taux de respiration” dans le secteur privé, ça se voit.
Borne a reçu Ciotti et Marleix et Matignon pour continuer à communiquer avec les bonnes personnes
La Première ministre Élisabeth Borne a reçu ce mercredi à Matignon Éric Ciotti et Olivier Marleix, chef du parti Les Républicains (LR) et sympathisant des représentants de ce parti.
Objectif : garder le contact. Les points principaux de cette discussion tournaient autour du long travail. Les républicains veulent que tous ceux qui commencent à travailler tôt puissent partir après 43 ans, sans attendre 64 ans.
La réforme des retraites effraie le moral des Français
Déjà inquiets de la situation économique et géopolitique, les Français voient la réforme des retraites comme quelque chose de nouveau. L’activité économique en février est tombée au plus bas niveau depuis deux ans et à 79% “contre” l’avenir, indique la dernière édition du Baromètre économique des entreprises Odoxa-AGIPI-Challenges-BFM.
Elisabeth Borne s’exprime ce soir sur France 2 pour confirmer
Toujours confrontée à une opposition croissante à sa réforme des retraites, Élisabeth Borne s’explique jeudi soir sur France 2 sur la finalité de son travail, qu’il défend comme “bon” même s’il demande “des efforts”, selon son plan.
Le Premier ministre sera interrogé pendant 35 minutes mais ne participera pas au débat qui suivra.
Il entend “continuer à expliquer ce changement, pour rappeler pourquoi c’est important de sauver le système des retraites”, selon son entourage, alors qu’il sait “ce qui marche un peu le plus petit représente le français”.
Édouard Philippe animateur de BFMTV à 18h50.
En plein débat sur la réforme des retraites, l’ancien Premier ministre s’exprime dans le texte du gouvernement d’Elisabeth Borne et au micro de Bruce Toussaint à 18h50.
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2 Français sur 3 veulent qu’une coalition contre la réforme aille de l’avant
Le nouveau sondage d’Elabe “L’Opinion en direct” pour BFMTV, publié mercredi, montre que l’opposition à la réforme des retraites chez les Français est toujours forte : 71% des Français s’y opposent, contre 72% la semaine dernière.
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Au terme du débat en commission et à l’Assemblée, près de 5 000 amendements n’ont pas été retenus.
Seuls deux sujets ont été examinés et des milliers de corrections sont en attente : les élus ont examiné une petite partie de la réforme des retraites à l’issue de sa partie en commission mercredi, précurseur de son arrivée lundi dans l’hémicycle.
Au milieu de la polémique, de la lassitude et du brouhaha, les membres de la commission des affaires sociales, réunis depuis lundi matin, ont achevé leurs travaux sur les 4 997 amendements restants, loin de l’article 7 qui prévoit de repousser l’âge légal à 64 ans.
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Bonjour à tous!
Bienvenue dans cette vie consacrée à l’histoire de la lutte autour de la retraite.